Mais qui dit matière sonore dit prises de son. Nous avons pris comme point de départ des lieux symboliquement fréquentés par les quatre fils Aymon, comme la forêt ou une eglise, afin de récolter des ambiances et alimenter le champ lexical de leur périple. Ont donc été couchés sur la bande – parce que même si plus personne en 2009 n’utilise des bandes magnetiques pour enregistrer, ça reste plus joli que “couché sur carte memoire” - des bruits de branches, de pas dans les feuilles, de vent dans les arbres, d’oiseaux, de pas dans l’église...
Le lendemain, les stagiaires de l’E2C ont plongé dans le vif du sujet en découvrant le logiciel de son et en manipulant eux même les sons récoltés la veille.

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